Le château des Carpathes - Jules Verne


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Libellés : Littérature française, Verne Jules

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Libellés : Claudel Phillipe, Littérature française
Tom et Anna Reed, un jeune couple sympathique, a priori sans histoires, s'évertue en vain, depuis des années, à avoir un enfant, malgré le coût démesuré des divers traitements de fécondité. L'absence d'enfant pèse lourdement chez ce jeune couple ; en attendant, Anna s'occupe avec bonheur de son petit neveu Julian. Afin de payer leurs dettes et combler plus ou moins leurs remboursements, le couple loue le rez-de-chaussée de leur maison à un certain Bill Samuelson, un locataire solitaire et plutôt revêche, avec lequel ils n'ont guère de contact. Un jour, alors qu'un feu est déclaré chez leur locataire, Tom et Anna décident de prendre les choses en main. C'est avec effroi qu'ils trouvent le locataire, mort sur son lit, terrassé par une crise cardiaque. En voulant éteindre l'incendie dans le studio, le couple découvre des liasses de billets de cent dollars, cachées un peu partout dans les placards de la cuisine. La tentation de récupérer cet argent est grande, pour ce couple ordinaire, d'autant que cela lui assurerait une vie meilleure. Au moment d'alerter la police, Tom et Anna hésitent à signaler ce fameux pactole, oubliant un instant les risques et les conséquences d'une telle décision...Rédigé par Loizo à 15:35 2 réactions
Libellés : Littérature américaine, Sakey Marcus
En juin 2006, un groupe de neuf jeunes étudiants accompagnés de cinq employés de l'Orwellian University de Manchester partent pour une expédition d'un mois sur une île déserte paradisiaque en plein coeur du Pacifique sud. L'opération est dirigée par le Professeur Raul Lopez-Turner, un explorateur et primatologue de renommée mondiale. Ce projet, préparé de longue date, lui tient particulièrement à coeur. A la fin de la mission scientifique, alors que tous attendent leur retour en Angleterre, on perd leur trace, aucune nouvelle des quatorze voyageurs. L'enquête conclut rapidement à un naufrage sans survivants. Plus d'un an après les faits, un paquebot recueille deux des étudiants, dérivant sur un bateau de fortune, hagards et nus, à plus de deux mille kilomètres de l'île sur laquelle ils auraient dû se trouver. Dans le cadre de son enquête, Robin Baker est choisi pour cosigner le livre qui racontera la version officielle de l'histoire, mais en son for intérieur, il est persuadé que la vérité est bien différente de celle présentée par les survivants et que ces derniers veulent cacher coûte que coûte pour des raisons vraisemblablement peu avouables. Afin de se forger sa propre conviction, Robin fera rapidement la connaissance de Ysan, la seule rescapée, susceptible de lui en raconter davantage. Grâce à ses quelques témoignages et à quelques preuves matérielles, l'auteur décèle des failles et des malaises et, de ces contradictions, prend véritablement conscience des difficultés rencontrés par les étudiants, livrés à eux-même. Il découvre avec effroi ce qui s'est réellement passé sur l'île...Rédigé par Loizo à 19:00 3 réactions
Libellés : Baker Robin, Littérature anglaise
Un jeune étudiant de vingt et ans, originaire de la Caraïbe, arrive sur le continent européen, à Bordeaux, loin des siens, pour suivre un master d'économie à l'université. L'avenir et le monde s'offrent à lui quand, en novembre 1999, une tumeur au cerveau coupe dans son élan celui qui se croit alors invulnérable. Incertain sur sa survie et ses capacités post-opératoires, de la salle de réanimation de l'hôpital de Pellegrin, au centre de rééducation de Gassie, cet apprentissage sévère lui apprend à reconsidérer sa propre existence...
Pouvez-vous vous présenter et nous en dire plus à votre sujet ?
J'ai ressenti une certaine fluidité dans le texte. Avez-vous passé beaucoup de temps à le rédiger ou, au contraire, l'avez-vous écrit dans une certaine douleur ? N'avez-vous pas craint la page blanche ?
On rit souvent et on est aussi très ému, en particulier la dernière partie qui donne à la fois le ton et toute la force de cette histoire. Il s'en dégage une réelle sensibilité lorsque vous nous parlez de votre voisine de chambre Linda, cette jeune adolescente de 14 ans que vous côtoyez et qui a encore la force et la combativité pour profiter de la vie malgré sa maladie incurable. Je vous cite : "Un grand pouvoir entraîne une grande responsabilité", pouvez-vous expliquer aux lecteurs ce "grand pouvoir"?
Quels sont précisément vos auteurs favoris ? Ceux qui vous ont marqué ? Et lisez-vous d'ailleurs des auteurs issus des îles de la Guadeloupe et de la Martinique ?Rédigé par Loizo à 11:30 5 réactions
Libellés : Entretien avec un auteur, Littérature française, Manioc Aude Alix
Libby Day a une trentaine d'années. Fortement dépressive, quelque peu cleptomane et incapable de se prendre charge, elle est une femme meurtrie. Au début de l'année 1985, alors qu'elle n'était encore qu'une jeune enfant de sept ans, sa mère Patty et ses deux soeurs ont été massacrées. Lors de l'enquête, elle affirme à la police que son frère aîné Ben, adolescent solitaire et complexé, serait en cause. La police la croit et Libby se retrouve à témoigner contre son frère, lequel sera finalement accusé du meurtre sanglant de sa mère et de ses soeurs. Vingt-cinq ans ont passé et voilà qu'un jour Libby rencontre un jeune homme, Lyle, qui va profondément changer sa vie. Membre d'une singulière association, le Kill Club, sorte de cercle regroupant des amateurs d'énigmes policières non résolues, Lyle est convaincu que Ben est innocent. Aussi, il propose à Libby, moyennant rémunération, de revenir sur ses déclarations à charge contre son frère et de rencontrer les protagonistes de sa propre histoire, pour mettre enfin la vérité à jour. Libby accepte du bout des lèvres, elle sait qu'elle n'a guère le choix, elle est à court d'argent et de projets, la vente de son livre racontant son histoire ne fait plus recette. En définitive, il s'agira pour elle de replonger dans ses souvenirs douloureux, de tenter de comprendre son rôle dans cette histoire sordide et de renouer avec ceux qui appartenaient à sa famille : Ben Day, condamné à perpétuité et son père, homme brutal, toujours en manque d'argent...Rédigé par Loizo à 10:30 4 réactions
Libellés : Flynn Gillian, Littérature américaine, thriller
A partir de quand la transparence devient-elle de l'exhibitionnisme ? A quel moment le plaisir de manger se transforme-t-il en pulsion mortifère ? Quand le goût du risque, d'excitant et agréable qu'il était, devient-il criminel ? Répondre à ces questions, c'est poser la question des limites, c'est-à-dire de l'interdit. Or cet interdit aujourd'hui n'a pas bonne presse. La transparence est devenue la valeur suprême et le mystère n'a plus la côte. Il faut tout dire et tout montrer. C'est oublier que, sans l'interdit, ni le travail de la pensée ni celui de l'imagination ne seraient possibles. C'est oublier encore que le mépris de l'interdit ne va pas sans dommage collatéral, la violence induite étant inévitable.Rédigé par Loizo à 11:55 0 réactions
Libellés : Philosophie, Psychologie, Rubin Gabrielle
Jean Teulé (né en 1953) est l'auteur d'une dizaine de romans, parmi lesquels on peut citer Je, François Villon, publié pour la première fois en 2006. L'auteur a engagé un pari risqué en écrivant à la première personne cette histoire très romancée. S'il est certain que François Villon ait été un grand poète, il faut avouer que nous ne connaissons pas grand chose finalement de lui. Les seules sources dont nous disposons aujourd'hui sont l'oeuvre littéraire très autobiographique et une poignée de documents administratifs relatifs à ses procès. Ce "mauvais garçon" du XVème siècle, chanté par Georges Brassens (1921-1981), ce personnage singulier, à la vie tumultueuse, cette force de caractère, a bouleversé indéniablement son époque.
François de Montcorbier naît en 1431 à Paris, dans une période agitée, en proie aux épidémies et à la famine ; la ville est occupée par les Anglais et Jeanne d'Arc meurt la même année, brûlée sur le bûcher. L'avenir du nouveau-né s'annonce bien sombre : son père, condamné pour un menu vol, meurt sur la potence. Six ans plus tard, sa mère est injustement arrêtée, à la suite d'un malentendu et est suppliciée à son tour, sur ordre de Thibault d'Aussigny. A six ans, le petit François est orphelin et est recueilli par Maître Guillaume de Villon, dont il prendra le nom, un chapelain de l'église Saint Benoit de Bétourné situé dans le quartier des universitaires. Le religieux prend soin de lui, l'élève, l'instruit et, en bon tuteur, l'encourage fortement à faire des études dans le but d'en faire un clerc. François reçoit la tonsure, porte la bure et étudie le latin et le grec à l'Université de Paris mais il s'ennuie. Il est surtout doué pour faire l'école buissonnière. Il s'éprend d'une jeune femme de bonne famille, prénommée Isabelle, tout en passant son temps à courir les filles ; il se livre à des blagues de potache, déclame ses premières ballades truculentes et humoristiques auprès de ses amis étudiants, se trouve mêlé à diverses rixes, vole les princes, traîne dans les tavernes les plus sordides, fréquente des prostituées ; bref, François Villon mène une vie de débauche. Sa vie bascule lorsqu'il croise une bande de dangereux et cruels brigands, les "coquillards". Le jeune homme est prêt à tout pour intégrer le groupe...Rédigé par Loizo à 10:30 5 réactions
Libellés : Littérature française, Roman biographique, Teulé Jean
Rares sont les destins aussi extraordinaires que celui d'Eugène-François Vidocq. Ce personnage hors du commun, tant par son physique que par sa vie aventureuse, à qui l'on reprochera toute sa vie d'avoir été un bagnard, a aussi bien inspiré de célèbres écrivains tels Victor Hugo ou Honoré de Balzac, qu'alimenté le cinéma et la télévision. François Vidocq est né le 23 juillet 1775 à Arras, dans le Pas-de-Calais. Fils de Nicolas Vidocq, maître boulanger et d'Henriette Dion, il n'est pas prêt à reprendre le travail harassant de son père ; échappant à son autorité et en compagnie de son frère Ghislain, il entre de bonne heure dans la petite délinquance, avec une surprenante précocité et des dons incontestables. Adolescent batailleur, il débute par quelques larcins dans la maison paternelle, lesquels grossissent très vite jusqu'au détournement osé de deux mille francs à son père. Il s'enfuit du domicile familial. Pour échapper à la police, il s'engage dans l'armée révolutionnaire avant de déserter. Voleur et escroc, il est condamné aux travaux forcés à l'âge de 22 ans. Conduit au bagne de Brest, il s'évade avant d'être à nouveau arrêté en 1799 et conduit au bagne de Toulon, d'où il réussit une énième évasion qui lui vaudra cette fois la notoriété et le respect du milieu. Il décide de s'implanter à Paris mais la vie lui est très difficile ; acculé, il prend le parti d'aller offrir son concours à la police parisienne, sous la seule condition de finir sa peine dans la maison de force qu'on voudrait lui désigner. Indicateur au départ, il devient un collaborateur si efficace que le préfet le nomme en 1810 à la tête d'une nouvelle brigade de sûreté, composée exclusivement de condamnés libérés, soucieux de se racheter une nouvelle conduite. Cette entreprise très controversée consistera à infiltrer les crapules afin de mieux les cerner et déjouer leurs méfaits. Vidocq saura sans difficulté se complaire dans la ruse et dans l'art d'astucieux déguisements. Cette méthode innovante se révélera prometteuse et pleine de succès, pour quelques temps...Rédigé par Loizo à 18:30 0 réactions
Libellés : Peyramaure Michel, Roman historique
Le commissaire Franck Sharko vit dans la région parisienne et cela fait maintenant six mois qu'il n'a plus de nouvelles de sa femme Suzanne, disparue un soir, alors qu'elle rentrait de son travail. Il ne lui reste d'elle qu'une épingle à cheveux, retrouvée dans le parking de leur domicile. Il n'a de cesse de se remémorer les bons et les mauvais souvenirs. Il la recherche toujours dans l'espoir secret de la retrouver en vie. Il tente malgré tout de survivre à son absence, et s'accroche tant bien que mal à son travail pour ne pas sombrer dans la folie. Avant même de reprendre son service, l'avant dernier jour de ses congés, son supérieur, le commissaire divisionnaire Leclerc, lui intime l'ordre de retourner à la P.J., au 36 quai des Orfèvres à Paris, après la découverte du cadavre d'une femme. Assisté de son bras-droit, le lieutenant Sibersky, Franck Sharko se rend sur le lieu du meurtre et se trouve confronté à une scène atroce : le corps de Martine Prieur, jeune veuve de trente-cinq ans, est retrouvée suspendue dans sa chambre, grâce à un système complexe de cordes, de poulies et de crochets enfoncés directement dans la chair, dans une posture quasi religieuse ; la pauvre femme a été torturée, suppliciée, démembrée, sa tête décapitée et posée sur un plateau face à sa dépouille. Sharko et son équipe n'ont jamais vu une telle sauvagerie, ils en sont terriblement éprouvés. Une première analyse fait apparaître un tueur d'une froideur exceptionnelle, un tueur qui met en scène ses crimes d'une manière barbare et sophistiquée. Il n'y a aucune précipitation et surtout, le tueur ne viole pas, son "plaisir" consistant avant tout à faire souffrir aussi longtemps que possible ses victimes. Nul doute qu'il s'agisse d'un grand psychopathe. Plus tard, par l'intermédiaire d'un courriel, le commissaire Sharko entre en contact avec le tueur...Rédigé par Loizo à 10:20 4 réactions
Libellés : Policier, Thilliez Franck, thriller
Madame Marguerite Bâ, institutrice, est née en 1947 à Médine, au Mali, sur les bords de l'immuable et imperturbable fleuve Sénégal. Elle a grandi entre onze frères et soeurs et des parents qui s'affrontaient sans cesse : son père Ousmane, forgeron et sous-directeur de la chute d'eau et Mariama, femme traditionaliste. Marguerite est une femme de caractère, qui n'use pas de la langue de bois. C'est une femme passionnément éprise de sa terre natale, et voilà qu'elle s'insurge de voir les jeunes partir en masse vers les pays du Nord dont la France et chercher désespérément un eldorado qui n'existe pas. Elle est d'autant plus affectée qu'elle n'a pas vu son petit-fils Michel, élevé avec plus d'amour que ses autres enfants. Celui-ci a disparu dans la nature, recruté par des entraîneurs de football français peu scrupuleux. Sans nouvelles de lui, Madame Bâ décide de partir à sa recherche ; elle sollicite un visa de la France ; hélas sa demande est refusée temporairement. Déterminée, la grand-mère malienne fait front et avec l'aide d'un avocat, Maître Fabiani, se met à écrire une lettre franche au Président de la République française, omettant de temps à autre les considérations diplomatiques d'usage...Rédigé par Loizo à 10:30 0 réactions
Libellés : Littérature française, Orsenna Erik
Jean-Baptiste Poncet, jeune médecin de vingt-huit ans, est apothicaire renommé au Caire, en compagnie de son associé Maître Jurémi. Un jour, il rencontre Alix, la fille de M. de Maillet, consul de France, dont il tombe éperdument amoureux. A son grand désespoir, celle-ci ne peut être accessible pour quelqu'un de son rang. Pourtant la providence lui sourit bientôt ; le consul lui demande de prendre la direction d'une ambassade dans la région de l'Abyssinie (Empire d'Ethiopie). En cette fin du XVIIe siècle, pour étendre son pouvoir, le roi-Soleil Louis XIV souhaite en effet entrer en contact avec le plus mythique des souverains d'orient, l'empereur d'Ethiopie, le Négus d'Abyssinie. Jean-Baptiste accepte cette mission délicate tout en voyant aussi un moyen d'acquérir la noblesse qui doit lui permettre d'épouser la fille du consul à son retour. C'est une chance extraordinaire pour cet homme qui rêve de voyage et d'amour. Il commence alors un magnifique et trépidant voyage initiatique, sur la route des épices, découvrant les belles et séduisantes contrées de l'Egypte et les montagnes de l'Ethiopie. Mais au gré de cette aventure palpitante cernée de rebondissements, Poncet prend conscience que la région est l'objet de la convoitise de nombreux groupes religieux ; il déjoue avec une intelligence brillante de nombreux pièges, notamment celui d'appartenir aux Jésuites ou aux Capucins. Libre-penseur, épris de liberté, Poncet décide alors de tout faire pour préserver l'authenticité de l'Ethiopie...Rédigé par Loizo à 18:30 4 réactions
Libellés : Aventure, Roman historique, Rufin Jean-Christophe
Je vous présente 183 jours dans la barbarie ordinaire - en CDD chez Pôle emploi.
A l'image de la jeunesse française, cette jeune femme enthousiaste, pleine d'énergie et de motivation prend rapidement conscience que trouver du travail est une véritable gageure. Alors que la crise économique explose en cette année 2009 et contrainte de composer entre son projet professionnel et le règlement de son loyer, Marion Bergeron postule, sans trop y croire, chez Pôle Emploi à Paris. Après un entretien éclair, la voilà recrutée, sans expérience dans le domaine de l'insertion, pour un contrat de six mois en CDD. En franchissant la porte de cette administration, il ne faut pas plus d'une journée à Marion pour comprendre qu'elle est entrée dans un monde à part. Un monde où les chômeurs sont des matricules, où les abréviations sont la règle (ZTT, DE, ZLA...), un monde où le management du chiffre fait autorité. Marion entre dans la cage aux lions, apprend sur le tas, découvre beaucoup, observe l'envers du décor et les rouages peu flatteurs de cette usine à gaz : création de faux rendez-vous avec les chômeurs, réduction des durées d'entretien, radiations hasardeuses, broyage des sans-emplois privés de reconnaissance, augmentation des performances de l'agence...Rédigé par Loizo à 11:30 0 réactions
Libellés : Bergeron Marion, Témoignage
Joseph Vaughan, écrivain à succès, a connu pourtant le malheur très tôt. Il perd son père alors qu'il n'a que onze ans et il est en proie à une terrible souffrance qui le ronge depuis près de trente ans. En 1939, alors que la guerre n'est qu'un écho lointain parmi les habitants paisibles d'Augusta Falls, Joseph a douze ans lorsqu'il découvre dans son village natal de Géorgie, le corps atrocement mutilé d'une fillette assassinée. La première victime d'une longue série qui laissera longtemps la police impuissante. Joseph en est bouleversé car il côtoyait ces enfants sur les pupitres de l'école. Joseph est hanté par les fantômes des petites filles et leur souvenir. Incapable de survivre, Joseph se met à écrire pour se libérer, pour rejeter ce mal qui le tourmente, sous le regard bienveillant de l'institutrice Mlle Webber qui a décelé chez lui un réel potentiel d'écrivain. Des années plus tard, lorsque l'affaire semble enfin élucidée, Joseph entreprend de changer radicalement de vie et s'installe à New York pour oublier les séquelles de cette histoire. Il va croiser à nouveau le monstre ; celui-ci poursuit sa macabre besogne. Au moment où les meurtres d'enfants se multiplient, Joseph n'a d'autre issue que de retrouver à tout prix la trace du vrai coupable...Rédigé par Loizo à 17:35 5 réactions
Libellés : Ellory Roger Jon, Littérature anglaise
Chères lectrices, chers lecteurs, amis blogueurs,
Je vous souhaite de passer une heureuse année 2011. Qu'elle vous soit douce, remplie de bonheur, de joie, de santé et d'amour. Qu'elle vous donne maintes occasions de sourire à la vie et de connaître la Paix en vous et autour de vous. Et sans oublier bien sûr de belles lectures et de magnifiques découvertes littéraires diverses et variées !

Rédigé par Loizo à 20:05 3 réactions
Libellés : Vie du blog

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